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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 18:47
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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 20:20

Pour la première fois cette semaine, le capitaine de l’équipe de France envisage le fait de quitter la Pro B pour retrouver le haut niveau.

Alors que la saison NBA est en danger et qu’elle pourrait tout simplement être annulée, Boris Diaw commence visiblement à se poser quelques questions du côté de Bordeaux. Attention, le capitaine de l’Equipe de France est très heureux dans son club (10,8 points; 4,7 rebonds; 2,8 passes en 28′) mais il sait qu’en cas d’annulation de la saison, il sera nécessaire pour lui de rebondir ailleurs, et de retrouver le haut niveau, au moins pour arriver dans la meilleure forme possible pour les JO de Londres.

Si Diaw, à l’image d’un Séraphin ou, dans une moindre mesure d’un Kirilenko, aurait certainement sa place dans un grand club d’Europe, il est bien possible que le Bobcat décide de passer un cap tout en restant en France. Et c’est la que la carte Pau-Orthez fait son apparition.

Dans un article de la République des Pyrénées publié ce matin, notre confrère Jean Fauret explique pourquoi et comment la signature de Diaw à l’Elan serait tout à fait plausible et tout à fait judicieuse pour les deux parties :

« Boris Diaw, a toujours expliqué que si l’opportunité sportive bordelaise n’avait pas été possible, c’est vers l’Elan Béarnais, club dont il porta le maillot trois saisons (2000-2003) avec deux titres de champions de France, deux Coupes de France et une Semaine des As à la clé, que son choix se serait porté. »

En début de semaine Boris avait plus ou moins laissé entendre, lors d’une interview réalisée avec nos confrères de Sport24, qu’il pourrait quitter la Pro B et Bordeaux dans l’optique de mieux se préparer à l’échéance de cet été.

« Non, pour l’instant ça va. C’est sûr qu’on a une échéance qui nous attend l’été prochain (Ndlr : les JO de Londres avec l’équipe de France) et qu’il faudra se préparer pour cela. Pour le moment, il n’y a pas de problème puisque la saison n’a pas encore été annulée. Si cela devait arriver, on pourrait toujours reconsidérer les choses. »

"Si la saison était annulée, il faudrait penser à l’équipe de France et à la préparation des Jeux Olympiques."

 

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 17:53

Si Nanterre doit se réveiller en haillons, ce sera en Pro A et pas ailleurs. Minuit n'a pas sonné à l'horloge et ce samedi, la JSF, petit club famillial, le plus provincial des Franciliens, avait encore ses habits de lumière. Ceux qui lui ont permis de finir en tête de la saison régulière et de monter en Pro A alors qu'il «n'était qu'un outsider derrière Dijon, Rouen, Boulazac en début de saison», rappelle Pascal Donnadieu. Pour la finale, le coach, fils de Jean le président, avait annoncé un duel entre un ours défensif, Dijon, et un groupe plus joueur. Ces deux caractéristiques étaient en fait réunies dans une seule équipe. «On a essayé d'hausser modestement notre niveau de jeu en défense sans trop perdre de timing offensif», détaille celui qui a été élu meilleur coach de Pro B.

«Ce niveau défensif, c'est encourageant pour l'avenir», ajoute-t-il. Si elle joue comme elle l'a fait à Bercy face à une équipe dont l'ossature (Borg, Moss, Leloup, Melody) a fait ses preuves avec Vichy en Pro A, la JSF risque d'en embêter plus d'un dans l'élite. Elle a dominé la finale en deux temps mais de manière quasi écrasante - donc étonnante, non pas par rapport à ses qualités propres, mais par rapport à celle de la JDA, qui n'a guère existé lors de cette rencontre. Il faut mettre sur le compte de la digestion de la montée, acquise il y a une semaine seulement, cet écroulement dijonnais qui ne ressemble à sa belle deuxième moitié de saison. «On a subi le même contrecoup que Nanterre quant ils ont su qu'ils allaient en Pro A, concède son entraîneur Jean-Louis Borg. Ce relâchement est coupable mais explicable.»

 

LE FILM DU MATCH :

 

Nanterre domine la première mi-temps en s'appuyant sur ses intérieurs. Le premier écart est créé sur deux paniers de rang du pvito Johan Passave-Ducteil (11-6, 5e). La polyvalence de l'ailier-fort Will Daniels le fait gonfler (19-11, 11e) puis le talent de Nate Carter exploser. Le pivot américain, élu meilleur joueur étranger de Pro B, inscrit huit points dans un 11-0 qui enfonce Dijon dans les cordes (32-17, 17e). Prises à deux, zone match up, rien n'arrête alors Carter alors que l'autre côté du terrain, les JSF cumulent la bagatelle de 9 interceptions en première mi-temps (34-25), cadenassant l'option n° 1 de la JDA, Jérémy Leloup (2 points à 1/3).

A la reprise, on sent que le discours de Jean-Louis Borg, l'entraîneur dijonnais, n'a pas été des plus tendres. Les intérieurs Erroyl Bing et Zach Moss jouent plus dur et la JDA revient à moins d'une possession (38-36, 25e). En panne d'adresse extérieure depuis le début, Nanterre laisse passer l'orage, continue son travail de sappe près du cercle (13/20 dans la raquette et 6 contres à 0 après trois quart-temps) et reprend la poudre d'escampette (51-42, 30e). L'écart remonte à +15 à la 34e minute (59-44) sur six points de rang de Carter (MVP de la finale). Dijon ne peut que constater les dégats. Ses intérieurs sont dominés, ses extérieurs n'existent pas ou peu (TT points pour Craven), l'avance frôle les vingt points (64-46, 36e).

 

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